Beau temps au RDV. Sors ton maillot o/ Il va faire très chaud ~ 35 ° à prévoir en après-midi.

stardustkinshigoldenBlindfolded
AlcyoneSweetTadakaiTadakai
{Clique pour déposer ta rumeur}

☼ Sayuri Hesediel & Izaya Kanzoku → "Miss Hesediel traine avec d'autres garçons dans le dos de son mari... Elle a été surprise dans les bras d'un homme blond, elle pleurait et semblait bien le connaitre. Serait-ce son amant ?"
Pure Evil ~

☼ Izaya Kanzoku → On raconte que le bureau du professeur d'anglais a été saccagé par une explosion et un effondrement de toutes les surfaces métalliques. Mauvais coup ou vengeance personnelle?
Magneto
rps
Pour référencer ton rp libre clique ici
WWW
Book of history ~ Mia Kagachi 1432315255-v2Book of history ~ Mia Kagachi 1432315260-o2Book of history ~ Mia Kagachi 1432315265-t2Book of history ~ Mia Kagachi 1432315269-e2



 
Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

Partagez
 

 Book of history ~ Mia Kagachi

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 

Invité
Anonymous

Invité

MessageSujet: Book of history ~ Mia Kagachi Book of history ~ Mia Kagachi Icon_minitimeMer 14 Aoû - 20:02


Je ne sais pas comment vous êtes arrivé à ouvrir ce livre. Vous cherchiez Mia et en entrant dans sa chambre, vous avez vu ce livre en évidence et vous l'avez ouvert. Ou elle vous l'a tendu à votre demande. Peut-être lui avez-vous prit tandis qu'elle allait chercher quelque chose. Mais le fait est là, vous avez ce livre dans les mains et êtes prêt(e) à regarder ce qu'il y a dedans.



/!\~Fic' of terror, - Undead Nightmare
Book of history ~ Mia Kagachi Sans_t13

La salle insonorisé est calme aujourd'hui. Étrangement, je n'en suis pas surpris. Les portes sont cloués, le sang rend la pièce nuancé de rouge. Je suis essoufflé, et ils sont tout autour du bâtiment. Je suis fini. Mais je ne suis pas assez courageux pour utiliser la dernière balle de mon revolver. Je tremble tellement, je n'arrive pas à poser le canon sur ma tempe. Je ne pourrais jamais le faire, les souvenirs du bon temps me reviennent tellement vite, tellement nombreux. Je ne peux pas, je n'y arriverais pas. Je dois pourtant trouver le courage de le faire, et j'ai peut-être quelque chose pour m'aider.
Du bois, des cordes et un peu de sang, qui aurait cru que ça aurait pu m'aider ? Une guitare, posé sur le côté. Elle devait sûrement servir à rajouter de la résistance à la porte. Je la prends dans mes mains, testant le son qu'elle produit. Un doux son, magnifique, très bien accordé. Elle ma rappelle celle que j'avais dans le temps. Sauf que la mienne à été réduit en bouillit. Tellement de nostalgie qui me pousse à m'asseoir sur le dernier tabouret que je pourrais toucher. Je commence à entendre des coups venant des portes. Frénétiques, suivit de plaintes, de gémissements continues et effrayant. Ils me glacent le sang, mais j'essaye quand même de contrôler mes tremblement et de jouer de cette guitare. Cette mélodie mélancolique m'emmène dans le passé. Un passé calme, paisible et normal. Qui n'a pas duré très longtemps. Si on avait été préparé...



C'était...Il y a tellement longtemps. Peut-être que quelques jours, ça n'a pas l'air si long, mais avec ce qui c'est passé entre, j'ai l'impression d'avoir survécu des centaines d'années. Ce temps si lointain...Quand j'y pense, ça me fait presque rire. Toutes ces personnes, moi y comprit, qui ne se rendaient pas compte de ce qui allait se passer. Non, on se contentait de draguer, étudier et passer du bon temps. Personne ne s'y attendait. C'est arrivé si vite...
Si je m'en souviens ? Tellement bien que ça me fait peur. C'était un jour d'été. Une longue journée. C'était le lendemain de la fin des cours, des amis m'avaient invité pour aller à une fête. J'avais bien évidemment accepter, cachant ça à mon père. Ma mère accepta avec l'aide d'un ami. Je me préparais pour y aller. Des vêtements propres, et quelques affaires pour manger. Je n'aurais jamais pu croire que ça allait tellement me servir, ces trucs à manger. J'aurais même dû éviter d'en manger autant sur le trajet, ça m'aurait donné la possibilité de tenir quelques jours de plus. Mais le voyage avait été long, et j'avais faim. Et puis le monde tournait rond ce jour là. Il y avait beaucoup de gens que je ne connaissais pas. Je me disais que je pourrais m'en faire des amis, ils avaient l'air plutôt sympa. Haha, la bonne blague.
Le soir venu, après avoir danser sur le « Gangnan Style », « Thrift Shop » et « La bonne weed », quelques personnes un peu trop ivre et moi-même étions allé nous installer au coin du feu pour faire brûler quelques saucisses et raconter ce qui s'était passé le matin même chacun notre tour. La soirée passait tranquillement, sans que quelque chose ne vienne la bousiller. Jusqu'à ce que vienne le tour d'une fille. Cette fille, elle traînait depuis le début de la soirée avec mon ami. Ils se câlinaient, se faisaient des caresses, toutes ces choses que font les adolescents. C'était à elle de raconter sa journée.

«J...Je me baladais tranquillement» commença-t-elle, tendue «Je venais de sortir d'un H&M, quand j'ai croisé un mendiant. Il commença à me suivre. J'avais peur, et plus j'allais vite, plus il faisait de même. P...Puis il...Il commença à courir si vite qu'il arriva sur moi en moins de dix secondes ! Il m'a mordu même ! Regardez !»

Elle releva la manche et nous pouvions voir sa blessure. Elle n'était pas belle à voir. Elle avait saigné, elle s'était infecté. Elle disait avoir mis du désinfectant, mais ça n'avait pas eu l'air de marcher. Mais personne ne donnait vraiment une réelle importance. On se disait tous que c'était l’œuvre d'un malade. Cela ne m'empêchait pas de boire quelques bières. Je commençais à avoir la tête qui tourne. J'étais complètement ivre, je fini par m'assoupir au coin du feu. Comme tout le monde, je me disais que demain serait le même jour qu'aujourd'hui. Qui aurait pu croire que ça ne serait pas le cas ? Pas moi.
Mon sommeil fut brouillé par un hurlement. Il m'était familier lui, c'était mon ami qui hurlait. J'ouvrais si lentement les yeux qu'un escargot aurait pu tourner autour de moi. Je voyais flou, ma gueule de bois n'arrangeait pas les choses...J'arrivais vaguement à apercevoir la scène. Au départ, je croyais qu'eux deux faisaient l'amour. J'étais prêt à partir mais...Mais il y avait du sang partout. J'avais envie de vomir, ma tête tournait. Je ne pu pas tenir debout sans l'aide d'un banc. Les cris n'arrêtaient pas de résonner dans ma tête. J'avais du mal à réaliser ce qui se passait. Mais je savais que je devais faire comme les autres, décamper. J'eus de la chance, la jeune fille préféra sauter sur quelqu'un d'autre que moi. Je pu prendre mon sac et courir tant bien que mal dans la forêt. Les cris continuaient à s'entendre, tellement fort que même les lumières hors de portée, je pouvais les entendre.
Je n'avais même pas fait une centaine de mètres que je dû m'arrêter pour vomir mes entrailles sur le sol. Ah...Ça ne me faisait que peu de bien...Et ça durait tellement longtemps. Tellement que quand je relevais la tête, je pu apercevoir mon ami me regarder. Et, contre tout attendre, j'eus à nouveau envie de vomir. Je me retenais à temps. Il y avait de quoi gerber aussi. Il était plein de sang, sur la figure et sur les vêtements. Du pue sortait de sa bouche avec ce liquide vitale. Il avait plusieurs morsures qui parcourait son corps, ayant les mêmes descriptions que sa bouche répugnante. Mais e pire, c'était que ses tripes pendaient hors de son corps. Il ne pouvait pas être envie, et grand fan de Walking Dead que je suis, je compris aussitôt. Et quand il bondit sur moi, je me cru mort. Mais j’eus de la chance cette fois-ci.
Son pieds marcha sur de l'herbe fraîchement retournée. Un clic retentit à mes oreilles et immédiatement, un piège se referma sur son pied. Il tomba lourdement sur le sol. Et tandis qu'un chasseur affolé venait le sauver, je partais en courant. Son cri perça le silence à son tour. Et c'est avec ce nouveau soleil qui montait devant moi lors de ma course que ce nouveau monde commençait.

END

J'ai fini ma chanson. Que trois minutes de mélodie merveilleuse, je ne les regrette pas. J'attrape mon pistolet, regardant par précaution si la balle n'avait pas bougée. J'amenais sans trembler le canon de mon arme sur ma tempe. C'est bon...Je pense que c'est le bon moment. Je prends une grande inspiration et, sourcils froncés, yeux fermés....Je n'ose pas appuyer sur la détente. C'est pas possible ! Je n'ai toujours pas le courage, et le bruit de ma musique n'a fait qu'en ramener plus. J'entends à mon plus grand désespoir les portes du studio craquer dans un vacarme assourdissant. Il ne me reste plus beaucoup de temps. Peut-être assez pour un autre morceau. Je reprends ma guitare, posant cette fois juste mon pied sur le tabouret. Je pose ma guitare sur ma cuisse et commence à jouer.
La suite de l'histoire n'est pas plus joyeuse. Vu comment je me suis retrouvé ici. Mais quelques choses reste encore à découvrir comme : Où j'ai trouvé ce pistolet ou comment suis-je arrivé à un studio d'enregistrement ? Oh, tant de choses que, à ma grande surprise, je n'ai pas envie d'effacer. La situation dans laquelle je suis ne me le permet pas. J'ai fais des choses dont je ne suis pas fier, mais la pire reste à faire. Et pour un croyant comme moi, c'est bien plus difficile...


J'avais couru toute la sainte matinée. J'étais essoufflé, mais je ne voulais pourtant pas m'arrêter. Le silence était la pire des épreuves. Je n'entendais que mes pas, et je ne savais pas si j'étais suivi ou non. Je ne savais pas si, quand je m'arrêterais, je serais en sécurité, un minimum du moins. Je ne pouvais pas non plus regarder en arrière. Je n'avais pas le courage. Pour moi, tant que je courais et que je regardais devant moi, j'étais en sécurité. Mais mon cœur ne tenait pas. Le point de côté qui s'était créé il y a de ça quelques minutes me torturait. Je devais sortir de la forêt, rapidement. J'y suis arrivé, mais je ne suis pas tombé là où je voulais...
Quand les buissons s'écartaient un minimum, j'eus l'affreuse surprise de tomber sur un camping. Il y avait une dizaine de mobile-home garé les uns à côté des autres. Il y avait du sang par terre, plus sur des véhicules que sur d'autres, mais toutes les portes avaient été ouverte. Je voulais partir en courant, faire demi-tour, mais je devais me reposer. Je me disais, stupide comme j'étais, que je pourrais reprendre mon souffle en cherchant dans les camping-car. Mais je ne m'étais pas rendu compte que c'était une mauvaise idée, je m'avançais quand même, lentement, sur mes gardes. J'avais compris un peu tard qu'une horde était passé par là. En effet, je me dirigeais vers l'entrée du premier véhicule quand, malencontreusement, mon pied heurta une boite de conserve qui ricocha sur le battant de la porte. Quand elle se mit à rouler, je pouvais entendre plusieurs plaintes monter de derrière le mobile-home. Affolé, je fermai violemment la porte, enclenchant le verrou. J'avais ramener toute la meute sur moi.
J'étais bloqué. Je ne savais pas quoi faire. Mon cœur battait à cent à l'heure. J'avais l'impression d'être un rat dans une cage frappé par un chat. J'étais piégé. J'avais beau fouiller, je ne trouvais que des couteaux pour me défendre. Deux couteaux ? Je risquais beaucoup trop. Je passai alors vers le volant. Je voulais chercher de quoi me défendre, mais je tombai sur pire. Je tombai sur le cadavre du conducteur, sans vie. Il était beaucoup moins ouvert que mon ami. Il avait du sang de partout, mais juste un gros morceau de bras manquait. Je supposais que la meute avait beaucoup trop de proie à attraper pour goûter à ses tripes. Le plus intéressant, c'est qu'il avait une arme à la main. Un revolver à roulette. Faisant attention, je m'approchais de lui, attrapant délicatement sa main pour pouvoir attraper l'arme.
Sa main se referma sur la mienne ! Une plainte commença à émettre de sa gorge. Ses yeux ses rouvrirent d'un coup. J'attrapais le couteau. Il me sauta dessus, bouche ensanglanté et pleine de pue grande ouverte. Mon bras s'abaissa violemment. Je pu voir la lame du couteau dans sa bouche tellement j'avais enfoncé l'arme profondément dans son crâne. Il tomba par terre. Je prenais le temps de souffler, mais pas longtemps. Les premiers craquements de la porte commençaient déjà à venir. Je regardais la roulette de l'arme. Il ne me restait que trois pauvre balle. Pas assez pour me frayer un chemin à travers cette meute. Je reprit donc mes recherches, pressé, cherchant de quoi m'armer. Je tombait sur mieux en fouillant mon assaillant. Les clés du mobile-home. Je ne savais pas conduire, mais je n'avais pas trop le choix. J'entrai la clé, je mis le contact et là, magie, il marchait ! Dans les films, il aurait bugué...
Pieds au planché, je me débrouillai comme je pouvais. Je pris de la vitesse sans trop de difficulté. Par contre, la difficulté fut là jusqu'à ce que j'atteigne une petite route de campagne. Une fois arrivé sur une route comme celle-là, je n'eus pas de problème, juste peut-être dans les virages. Il n'y avait pas beaucoup de voiture. Je supposais que tout le monde avait choisi l'autoroute. Stupides humains hein ? J'étais bien heureux d'être tranquille, mais je devais trouver un plan. J'étais plongé dans mes pensées. Tellement que je ne vis pas les bornes passer. J'étais déjà en ville ? Je devais m'arrêter de trouver de quoi me ravitailler. Je garais le véhicule dans un coin, descendant discrètement. Mais c'est là que le début de la fin commença...
Une adolescente sortie en fracas d'un cinéma, courant vers moi en pleurant. Elle avait une batte de base-ball dans la main, ensanglanté évidemment. Je cru qu'elle voulait m'agresser, je rêvais qu'elle me saute dans les bras, mais elle ne fit que m'esquiver. Elle était poursuivit par un nombre incalculable de ces monstres. Tous différent, mais tous répugnant. Je tirai directement trois coup de feu pendant que je fuyais le groupe qui s'était attaqué à moi maintenant. Je courais aussi vite que je le pouvais. Mais ils arrivaient à me rattraper. Je voulu tirer sur le premier du peloton. Mais j'avais bien compter mes balles. Je ne voulais pas souffrir, je voulais une mort net. Alors j'ouvris la première porte qui était sous ma main, la verrouillant derrière moi. Je continuais à l'intérieur de bâtiment, fermant les deux portes du couloir avec une chaîne. Je courais aussi vite que je pouvais vers la dernière porte...

Voilà...Ces souvenirs m'ont remonté le moral. Comment ? Bah je me dis que je ne me débrouillais pas si mal que ça. Jusqu'à ce que je trouve un endroit qui n'a pas de sortie de secoure. Je pose la guitare sur le côté et je sors à nouveau mon revolver. J'ouvre la roulette, regardant la dernière balle dans le chargeur. J'aurais aimé vivre plus de chose. Une femme aux yeux magnifiques qui m'offrirait son cœur, des enfants qui auraient le sourire aux lèvres en me voyant les chercher à l'école, avoir la chance de voir mes petits enfants pendant toutes les vacances, avoir la chance de mourir dans mon lit. Je n'ai pas eu cette chance. Mais je me sens prêt ? De toute façon, je n'ai pas le choix, les deux grosses portent cèdent. Soit je tire maintenant, soit je me fais dévorer. Je lève lentement mon arme, posant la froideur du canon contre la peau tendue de ma tempe. Les dents serrés, je me tourne vers la porte de gauche. Je la regarde, subissant fébrilement les assauts des morts.
Je vais faire la pire chose que j'aurais pu faire de toute ma vie...Le suicide m’emmènera directement en enfer. Mais je ne veux pas me faire dévorer vivant. Ah, quelle ironie, abandonner une torture pour en avoir une autre. Pff, maintenant que je m'en rappelle, j'ai tellement raté de truc. Des amis, des copines, des plan-culs, tous ça. Et ma première fête, où je me suis m'y misère, a été le début de la fin du monde. Je n'ai pas vraiment eu de chance...Et je n'en ai pas plus. La porte cède, celle derrière aussi. La meute se rue devant et derrière moi, affamé. Je lève mon majeur gauche vers le premier de la horde. Presque aussitôt, mon doigt glisse. Ils ne m'ont pas vivant.
PAN.

Ces écris ne vous ont pas laissé indifférent ? Peur ? Angoisse ? Ou peut-être qu'il n'y avait pas assez de sensation pour vous ? Qu'importe, votre curiosité vous pousse à tourner la page. Vous vous demandez s'il y a une autre histoire derrière, dans la même catégorie peut-être.
Revenir en haut Aller en bas
----✄---------------------------------
 

Book of history ~ Mia Kagachi

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Évade-toi de cette réalité. [PV Mia Kagachi - Terminer.]
» Un après midi dans le parc de Nara [Mia Kagachi]
» Le club de cuisine ouvre ses portes! [Aya Kitsuna, Matt Mickaelis, Mia Kagachi] fini!

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Pensionnat Tadakai-RPG :: • Divers-