Feuille de personnage Année (pour les élèves): • 4ème année Autres infos ?: Niveau (maîtrise de la magie) : Little Wizard
Abracadabra! BOUUUM ~
Sujet: Douleur, sans douceur [Libre] Ven 7 Fév - 6:57
Douleur, sans douceur.
La seule chose perceptible encore des sens d'Haneko était cette souffrance intolérable. Le ciel pleurait de fines larmes, la terre accueillait Haneko. Où? Cela restait un mystère. Aucun souvenir de ce qu'il s'était passé à l'exception d'une évidente sur utilisation de son pouvoir. Un comique avait déconcentrée la jeune Genzou lors de la présentation d'âme errante, une pièce de théâtre à laquelle Haneko était enchaînée.Une pièce de théâtre écrite par son père et réalisée par sa mère. Complices dans une oeuvre qui piégeait leur propre fille. Heureusement celle-ci avait rattrapée la cause, en utilisant son pouvoir en double par sa volonté de toujours bien faire. Malgré les souffrances que cela lui causa.
Le vague souvenir du portail de l'école Tadakienne errait dans sa mémoire. Le jour, l'heure, la minute... la seconde... quand? Dans une suite logique Haneko se serait trouvé là dans la nuit de Samedi.
Quel jour sommes-nous? Où suis-je?
Il était maintenant six heures et 30 minutes en ce lundi matin. Haneko reprit conscience. Sa vision était encore floue, son ouïe susceptible... et sans le sens du toucher. Seul des muscles endolories la torturait psychologiquement. Elle était perdue, un sentiment de peur et de solitude l'envahissait.
Allongée sur le lit de l'infirmerie, la jeune fille âgée de 17 ans ne pouvait pas le comprendre sans ses sens si précieux. Un bruit déformé par son ouïe se fit tout d'un coup, ce qui fit grincer la jeune Genzou. Où suis-je? Où suis-je? Où suis-je? Où suis-je? Où suis-je? Où suis-je? Où suis-je?Où suis-je? Où suis-je? Où suis-je? Où suis-je? Où suis-je? La panique s'empara d'elle, ce qui la fit plus souffrir.
Des larmes, ses larmes, coulaient sur ses joues, mais le réconfort que celles-ci pourraient lui procurer était impossible. Ses sens ne détectèrent pas le liquide créer par ses yeux. Si elle osa crié d'effroi, ce serait elle-même la victime de ce cri. Si elle levait sa main dans les air pour de l'aide, l'aide ne se ferait pas sentir. Elle était piégée dans un corps vide de sens.