Soleil se levant au delà des horizons, la lumière des rayons du soleil transpercer petit à petit les nuages de ce ciel nuageux. Bras sur les yeux et cheveux en bataille, aucin rayon de cette lueur ne pouvait le réveiller, on était le mercredi et ce jour-là, Ichinose n'avait pas cours. Rideau fermé, le jeune homme dormait a point fermé, sa journée d'hier ayant était un vrai défis...Dans tout les sens du terme. Pour la première fois de sa vie, il avait été méchant avec un élève qui n'arrêtait pas de pourrir son cours. Il l'avait prévenu avant, mais il continuait et finalement, Ichinose craquait et finit par lui pousser une soufflante qui le calmait net. En ce moment, ce beau professeur était sur les nerf, des nerfs qui le poussait à craquer facilement et sans même le vouloir. Désespéré, il avait lancé une punition collective et pendant ce temps de tranquilité, il se remit à corriger ses copies sans succès, son esprit ailleurs. Depuis peu, le jeune homme était interloqué par une élève qui avait besoin de lui dans sa matière et qui accessoirement ne savait utiliser son pouvoir. D'ailleurs, ce pauvre professeur eut le droit à un bon rafraichissement qui réussit à tremper ses vêtements. À ce souvenir, un léger sourire se dessinait sur ses lèvres, comme si son côté enfantin réapparaissait ainsi. Continuant de rêver, les heures défilèrent lorsque soudain un mordillement le fit sursauter et légérement grogner. Soulevant la tête, il surpris son familier en train de lui mordillait les doigts de pied en réclamant à manger. Baillant à s'en décrocher la machoire, il se mit alors assis sur son lit et une fois ses pieds bouillant dans ses chaussons, il se redressait et s'étirait comme un félin qui venaot de se lever. Torse nu et bas de pyjama, il allait donc dans la petite cuisine pour manger tranquillement son petit dej et donnait à Chacha sa friandise préférée...Un banana split.

- Chacha franchement....Un banana Split en hiver...Quand même ma belle
- Ch'est cro bon cha, tu devrait echayer tu chais
- Parle pas la bouche pleine baka

Rigolant un peu, il lui caressait rapidement le crâne et souriant, se mit sur la table prêt de la fenêtre pour manger en admirant le soleil qui montait dans le ciel. Il était maintenant 11 heure et il se devait de se dépêcher car la correction de copie l'attendait. Perdu dans ces pensées, le visage d'une femme le hantait mais aucun souvenir de celle-ci lui revenait en tête. Soupirant un peu, il finit son repas et le déposant dans l'évier, se dirigeant vers la salle de bain, il eut un sourire en se voyant dans la glace...On dirait qu'un hérisson était posé sur sa tête. Se deshabillant, le bleuté allait donc sous la douche et profitant de la chaleur de cette eau, gardait un oeil sur son familier qui mangeait encore son dejeuner, comme si de rien n'était. Fermant les yeux, il restait un moment sous cette eau bienfaitrice et se rappelait tout ses souvenirs passaient, des souvenirs qui restaient gravés dans son coeur. Ressortant de ce lieu dans la buée dut à la forte chaleur de la pièce, il s'essuyait rapidement l'eau qui coulait le long de son torse et s'habillait simplement, une chemise blanche un peu déboutonnait pour la détente et un pantalon en jean pour le coté sexy. Passant une main dans sa tignasse bleu nuit, il sourit une fois prêt et rajoutait l'écharpe autour du cou pour ne pas attraper froid. Il devait aller faire les corrections mais vue l'heure, il allait attendre les midi pour manger.

Une fois avoir manger, il se dirigeait vers la bibliothèque pour pouvoir un peu lire, se détendre et apprendre. Même si il est professeur, il avait soif d'apprendre et te savoir un peu plus sur ce qui l'entoure et qui rend sa vie ce qu'elle est. Les secondes, puis les minutes et enfin les heures défilèrent et 15 heure arrivait rapidement. Sortant alors de la bibliothèque, le jeune homme se déplaçait alors dans le pensionnat et passait devant la salle de musique. S'arrêtant et curieux, il poussait la porte et entrait dans la pièce qui lui rappelait plein de souvenir. Touchant le piano du bout des doigts, il eut un sourire nostalgique, la bonne vieille époque où son groupe et lui répêtait ici. Fermant les yeux un instant, il jouait quelques notes avant de sourire et de se relevait, le saxophone, guitare, violon...Tellement d'instrument qui lui rappelait le avant. Se postant en plein milieu de la salle, une peine immense lui traversait le coeur et fermant de nouveau les yeux, se mit à pousser les premières notes, puis la chanson. Résonnant dans la pièce, le jeune philosophe ne faisait même pas attention au fait qu'on l'espionnait et se laissait aller à la musique qui le libérer progressivement de ce fardeau. Soudain un grand bruit le fit sortir de ses pensées et se retournant, vit une jeune fille étalait sur le sol, se relevant soudainement en se frottant le nez. Haussant un sourcil, le jeune professeur s'arrêtait de chanter et s'arrêtait devant la belle.

- Bonjour demoiselle maladroite. Vous n'avez rien j'espère ?

Sourire sur ses lèvres, Chacha arrivait derrière lui et se posait prêt de la jeune fille pour voir si elle n'était pas blessée. Il ramassait alors une sorte de petit coton qui était tombé et le rend à la jeune demoiselle dont la maladresse ne pouvait envier sa beauté.

Ah la salle de musique, le seul endroit dans tout l'établissement ou Ichi pouvait enfin être lui même. Cela remonte à tellement longtemps maintenant, quand il était un étudiant modèle et appliqué, adorateur de chant et pure pacifiste, lisant des romans quant il le pouvait. Il n'avait pas beaucoup d'amis à l'époque et encore moins une amoureuse...Enfin si, elle avait était un moment l'amour de sa vie, mais les gens changent et le temps passe. Ichi avait changé et ne s'interesser que plus rarement à la gente féminine, préfèrent le contact avec les hommes. Comment pouvait-on finir ainsi ? Eh bien par simple remarque que la plupart de la gente féminine ne s'amuse que des hommes. Certes toutes les filles ne sont pas pareille, mais jamais il n'en avait croisé une différente pour le moment. Jeune homme au tempéramment calme et posé, pouvait à n'importe quel moment, devenir aussi froid que la pierre et aussi dominant qu'un lion, mais cela est une autre histoire.

Installé dans cette petite salle de musique, il ressentait toute les mélodies qui ont été joué ici, ainsi qu'une ceetaine nostalgie et tristesse qui envahissait le lieu. Souriant, il posait sa main sur le piano lorsqu'une jeune femme fit irruption dans la salle en ce ramassant bien comme il faut. Inquiet il vint la redresser et regardant si elle allait bien, lui fait un sourire qui en disait long sur ses intensions pacifiste. La relevant alors, il lui ébouriffer les cheveux avant de lui redonner un petit morceau de cotton et de lui sourire tendrement à ses paroles.

- Merci bien jeune demoiselle, mais je suis rassurée que vous n'ayez rien de mal.

Regardant alors le jeune familier de la demoiselle, Ichinose eut un petit sourire, le trouvant assez mignon. Tournant alors skn regard noisette vers la demoiselle, Ichinose eut un petit sourire avant de secouer les mains devant lui en rigolant un peu.

- Ne vous excusez pas mademoiselle, ce n'est las grave, la curiosité, je connais bien.

Souriant pour la rassurer, il admjrait une dernière fois le lieu de son adolescence avant de voir la jeune étudiante diriger sa main vers sa petite Chacha avec un peu de peur. Penchant la tête, il surveillait ce que faisait son petit familier avant de la voir renoncer et rigoler un peu en voyant Chacha sauter dans les bras de la jeune fille pour frotter sa joue contre la sienne.

- Chacha te dit qu'elle adore les caresse et les calins. Ah oui, je me présente, Ichinose, professeur de Philosophie, et vous mademoiselle ?

Étant un peu surpris de voir son amie sauter aussi facilement dans les bras de quelqu'un, il en conclut qu'elle devait être très gentille. Prenant alors un violon qui trainait par là, il fit assoeir la jeune élève avec les deux familiers et se mit à jouer une douce mélodie berçante qui calme toute colère et gène. Fermant les yeux, il laissait le bâton glisser sur les cordes et souriant et se laissant emporté par la musique. S'isolant alors dans un monde qui n'était qu'à lui, il s'imaginer dans un pré, les cheveux aux vents et la mélodie faire voleter ses pensées vers une destination inconnue.