Tes parents t'avaient obligé à y aller, pourquoi ? Pour devenir un peu plus sociable. A force tu étais devenu solitaire et froide, détestant la compagnie ou la conversation des autres. Toi qui n'avait jamais eu d'amis, tu t'étais enfermé chez toi avec tes professeurs ce qui te suffisais largement. Pourquoi avoir des amis alors que tu pouvais avoir tout ce que tu voulais chez toi ? Ton père, était si fier de ce que tu étais, sauf peut-être de ton caractère de peste. Tu as toujours préférés les romans, livres fantastiques et autres, ils te permettaient de t'évadé de ce monde qui semblait si compliqué. Les personnes t'entourant principalement étaient tes parents, pour qui tu étais la plus belle chose au monde. Sans te venté, ils avaient quelque peu raison, tu jouais de la musique, lisait, était la meilleure niveau étude. Que demandé de plus? Tu ne pouvais faire mieux que cela, sauf peut-être encore t'amélioré.

Tu avais toujours été seule car jamais tu ne voulus t'intégré aux enfants de ton âge. Ils ne pouvaient comprendre ce que tu étais, ton pouvoir, ou autre. Tes parents, peureux de ta santé et de ton intégrité ont décidés de te scolarisé chez toi pour plus de sûreté. Tu avais ce que tu voulais, tu ne te plaignais pas après tout, étant sans amis, sans connaissance, tu étais devenue La peste des pestes, tout le monde pouvaient le dire, que jamais ils n'avaient vu plus capricieuse et impatiente que toi. Tu ne voulais surtout pas changé, sauf que tu savais à présent que pour pouvoir mûrir et grandir comme il se doit, tu avais besoin de connaissances ainsi que de relations positives. Pour pouvoir évoluer dans ce monde étrange qu'était celui ci. Pour le moment tu ne t'étais fais que des ennemis, c'était mauvais pour toi mais tu ne l'admettrais pas.

Ne changeant jamais, tu ne le ferais surtout pas pour t'attiré les bonnes ondes de quelque personnes qui t'oublieront dans quelques années. Tu savais qu'un véritable "ami" devra t'accepté pour ce que tu es, et non pour ce que tu montres ou ce que tu peux donné. Bonne chance à eux d'ailleurs, car niveau caractérielle, tu étais bien la meilleure parmi les meilleures. En arrivant à l'académie Tadakai, tu découvris que ton familier était Poncho. Une espèce de petite souris jaune, sans queue, mais assez mignon il fallait l'avouer. Il ne savait pas parlé, il savait juste dire « Poncho, poncho, poncho » a longueur de temps. Il était si affectueux que cela t'énervait et t'agaçait la plupart du temps où il essayé de communiquer avec toi.

Tu décidais de sortir de cette école étant donné qu'a cette heure là tu n'avais pas cours, allant au centre commercial tu t'asseyais a une table de la cafet' pour te détendre. Tu prenais un bon thé pour te relaxer, sortant de ton sac un des roman que tu adorais lire et commençait cette lecture trépidante jusqu'à que poncho ne commence à piailler.

« Poncho, poncho, poncchooooo, pon pon »

— "Poncho tais toi un peu et laisse moi savouré mon livre et mon thé ! Non mais c'est plus possible maintenant que tu continue autant à parlé alors que je ne comprends strictement rien.

Soupirant tu le regardais méchamment pour qu'il comprenne vraiment que cela t'exaspérait. Il avait l'habitude de ce regard, tu n'eus donc plus besoin de dire quoi que ce soit pour avoir droit enfin au silence et a la paix. Après un long silence de sa part tu repris ta lecture si passionnante que cela se voyait dans ton regard. Rapidement tu finis ton livre, et le rangeait donc dans ton sac très minutieusement. Réfléchissant, car tu ne savais que faire à présent, tu regardais dans ton sac et en sortis une feuille de partition vierge. Farfouillant, tu sortais ta trousse et prit un crayon à papier pour pouvoir écrire de belles notes de musiques. Tu marmonnais la chanson que tu voulais retranscrire.

La musique était ta vie, ton espoir, ton illusion. Cela te permettait réellement de t'échapé de ce monde qu'était celui ci. Avec ces mystères, ces joies, ces peines et ces morts. La guerre régnait à certains endroits, et rien ne pouvait l'arrêté, du moins pas toi en tout cas. T'espérais tant que le temps s'arrêtent, que tu puisses enfin être seule au monde, ne plus entendre que le vent et regarder le ciel aussi beau soit-il. Que la pluie ravage les terres, que le soleil éclaire tes pas, les éclairs foudroient les arbres et créent des incendies qui ravagent tout. Tu n'avais aucune peur, sauf celle de te retrouvé confronté à toi même et découvrir qui tu étais réellement. Au fond de toi même tu savais que tu n'étais pas celle que tu faisais croire. Mais alors, qui es tu Tanaka Yumi ?

Un mystère qui sera sûrement découvert un jour, par une personne qui t'analyseras, t'accepteras et pourra donc te dire qui tu es. Pour le moment tu vis dans un brouillard immense, la peste que tu es n'es qu'un assemblage de chapitre de ta vie, et tu le sais très bien. Si ton père n'avait pas été riche, si tu n'avais pas eu tout ce que tu voulais, serais-tu celle que tu es à présent. Peut-être, qui peut savoir ? Personne. Tu aimais te faire des petites réflexion comme celles-ci, te posé des questions et y répondre toi même. Cela te permettait de resté dans ta bulle tout en écrivant ta partition. D'écrire ce que tu ressentais réellement et ce que tu avais au plus profond de ton âme. C'est a dire de la tristesse, de la noirceur caché. Jamais tu ne l'avouerais, cela était certains mais qu'importe, tu savais toi ce que tu ressentais.

Tu avais même oublié que tu étais assise à la cafeteria, tu étais déjà partis bien loin jusqu'à qu'une voix qui t'étais dirigé te face sursauter. Pour une fois ce n'était pas Poncho qui respectait tes moments de réflexion, regardant ta partition, tu étais étonné car il y avait des petites notes un peu partout. De part et d'autre de la feuille tu avais écris des mots, des phrases, des paroles, des notes. Enfin bref, de tout quoi, regardant à présent la personne qui t'avait parlé tu découvris qu'elle était de l'académie Tadakai, comment le savais-tu ? A son familier bien entendu, personne n'en avait sauf vous, et apparemment elle avait remarqué Pon'. Elle avait de magnifiques cheveux clairs tressé. Ces yeux qui étaient mauves ou bleuté, a vrai dire tu n'arrivais pas trop a dicerné l'une ou l'autre couleur. Bien droite et bien habillé, elle devait être également de la classe 1. Ne remarquant jamais personne tu n'en savais pas plus.

— "Bonjour, vous avez un très beau familier, je m'appelle Aya Kitsuna et moi aussi je suis pensionnaire à Tadakai!

Tu soupirais de nouveau, elle était si enthousiaste, si souriante que tu compris immédiatement qu'un truc clocherait entre vous deux. Vous n'allez pas trop vous entendre, sauf si tu faisais un effort ? Et bien tu ne savais pas encore, peut-être que oui, peut-être que non, à voir de ce qu'elle ferait ou dirait. Elle complimentait Poncho qui sautillait sur place,  tellement heureux de la rencontré. Il l'a trouvait si jolie et gentille qu'il se mit à ses pieds et la regardait avec des yeux pétillants d'étoile. Il te désespérait vraiment, tu te demandais souvent pourquoi tu l'avais eu lui !
« Ponchooooo !! Pon ! Pon ! Poncho poncho pon ! »

— "Bien le bonjour Aya Kitsuna, je me nomme Tanaka Yumi. Je suis dans la classe 1 et vous même ?

Etant toujours polie tu la vouvoierais jusqu'à tant qu'elle te dise de la tutoyer. Elle avait l'air gentille, et si tu essayais de l'être aussi, nous verrons bien ton humeur du jour.