Ton rêve, était juste un endroit ou tu étais libre. Seul toi en était maître, et ça t'arrangeait bien. Dans ton monde, tu es ton seul maître, personne ne te sera supérieur. Tous seront inférieur. Après tout, c'est ce que tu aimes.

«Ce doux parfum..»

A vrais dire, une odeur envahis tes narine. Ce mélange de parfum, de fraîcheur, de légèrté, qui te transporte dans un autre monde. Tu cherches cette odeur, d'où vient-il ? Cette simple question, pourtant banal, de cuit le cerveau littéralement. La solution, tu la connaissais. C'était bien évidemment d'arrêter de pensée. Chose qu'il est impossible d'arrêter. Toute personne pense ! Même les merdeux dans ton genre. Je suis navré.

« Est-ce un rêve ? Surement.. »

Un rêve, qu'il fallait bien terminer. Cette fin de ce rêve, qui revient sans cesse dans ta mémoire. Malgré tous tes efforts, peut importe ce que tu fais. Il revient. Cette scène où, tu vois, ton jeune frère franchir une simple porte. Le poursuivent, tu la franchis à ton tour. Que vois-tu après ? Un simple mur de brique...
Une simple impasse, que tu ne peux pas franchir, par ton caractère minable.

Subitement, une lueur dorée, vient embêter tes yeux de cette couleur océan. Tel un enfant, tu les frottent. Redressent ton corps, jeune et enfantin, avant de remarquer ou t'étais tu allongé. Sur le sol.. Oui sur le sol, ou séjournait quotidiennement des graviers, du sable d'une couleur inconnue pour toi. C'est aussi ici, que résident les fleurs, dont cette odeur te parvenait jusqu'à toi.  

Alors, oui, cet endroit n'était pas vraiment approprié. Que cela soit pour tes fesses, ou même dormir. Pourtant, l'avis des autres t'étais complètement égal, une habitude pour toi. C'était avec une tête d'endormi, digne d'un dodo que tu revenais à la réalité. Bien fade pour toi.

Tes yeux étaient mit clos, a moitié endormis, tu revenais à la réalité. Ce rêve était bien fini et, tu mis du temps à t'rendre compte. Du moins, jusqu'à ce que tu sentes une présence à quelque centimètre de toi. C'était l'odeur qui t'avait diriger, même s'il y avait les fleurs, tu savais faire la différence entre fleur et, parfum. Le parfum que la demoiselle portait.

C'était une odeur de fruit, plutôt sucrer. Comprenant après avoir sentit cela, qu'il y avait une femme. Ses paupières mit clos, s'ouvrit soudainement, ta tête tournait automatiquement vers cette femme. La contemplant de haut en bas, de large en travers, c'était bel est bien une fille.

Change ou malchance, tu ne le saurais que très bientôt. Ses lèvres avaient bougés, un son avait dû sortir de sa bouche. Pourtant, tu n'avais rien entendus, ton cerveaux était vraiment cuit..
D'une voix très masculine, complètement perdue, tu lui sortis une phrase, qui était typique.

« Hein ? Quoi ?! »

La réaction que tu venais d'avoir, était ce que un ados disait. Avec la manière dont tu avais parler, c'état vraiment le portrait craché. Tu ne pouvais pas le nier, on voit nettement sur ton visage, que tu es jeune. Etant jeune, tu fais le rebelle, sauf que toi au lieu que cela soit partiellement, c'est en permanence.

Est-ce que c'était cette fille, qui t'avait fait perdre l'esprit ? Pas vraiment, le réveil chez toi à toujours été extrêmement difficile. Allant jusqu'à 1:30 pour réussir à te lever, tu es un grand flemmard.

Ton corps se redressait, alors que tu rappelais que c'était le collier qu'elle avait autour de son cou, qui t'avait réveiller. Peut être, cela était bien plus qu'une simple supposition, que tu n'étais plus seul à présent dans ce jardin.